Aujourd’hui nous avons mangé les premières fraises du jardin. Elles sont bien rouges mais manquent encore un tout petit peu de soleil, bien que depuis hier, la température ne quitte pas les 30°. La météo avait prédit des orages, mais la station météo que m’a offerte Chantal affiche un soleil rayonnant. Les fraises valent largement celles de Lezoux achetées hier au marché d’Issoire. Les plants sont de l’année dernière. Ils ont donné jusqu’en octobre et, ce printemps, sont très vigoureux et productifs. Cette année, nous devrions avoir plein de fraises et c’est tant mieux car c’est notre dessert favori. Comme ça, mangées à la main dans l’assiette. Sans sucre ni crème.
Avec les tontes de pelouse, j’ai fini de pailler les pommes de terre et les plants de céleri rave et de tomates que j’ai achetés hier au marché. Cette année, je vais essayer d’empêcher les mauvaises herbes de pousser et de contenir l’humidité du sol par ce type de paillage. J’ai lu dans « le poireau préfère les fraises » que ça devrait marcher.
Les Saints de glaces sont maintenant passés et hier, samedi 23 mai, j’ai pris les plants de tomate au stand de la jardinerie de Vézézoux. La jardinerie vient de Haute Loire, et s’installe près de la gendarmerie comme me l’a indiqué Paul. C’est vrai que ces plants sont très beaux. Les tomates ont l’air en pleine forme. J’ai pris deux Cœur de Bœuf, cette belle tomate charnue, dans un godet d’un beau mauve, la couleur préférée de Chantal, deux Steak en godet vert foncé, je crois que c’est une tomate également pleine de chair, deux grappes en godet gris qui sont toujours agréables à manger à pleine dent, une St Pierre en godet bleu charrette et une Marmande en godet orange.
J’ai d’abord installé des tuteurs en plastique vert. J’ai appris dans les livres que le mildiou s’installait sur les tuteurs en bois et qu’il est impossible de les désinfecter. L’an dernier, les tomates ont toutes été touchées par le mildiou et les tuteurs ne peuvent donc pas être réutilisés.
J’ai planté de gauche à droite un premier rang avec une Cœur de Bœuf, deux Grappes, et la Marmande et le second rang composé d’une Steak, la St Pierre, la seconde Steak et la seconde Cœur de Bœuf. Il faudra planter des œillets d’inde pour éloigner les ravageurs des tomates.
Le céleri rave vient de Gamme Vert. Le râper est difficile. Nous en avons préparé nous- mêmes pour la première fois cette année. La première fois avec une sauce à la moutarde que Chantal a peu appréciée, même pas du tout. C’était pourtant de la moutarde à l’ancienne avec de vrais grains dedans. La seconde fois, j’ai fait une sauce au fromage blanc et au poivre qui l’a régalée.
Une douzaine de plants. J’ai lu que c’était difficile à réussir, c’est pourquoi j’ai acheté des plants. Paul me dit qu’il en plante souvent et que l’année dernière contrairement aux autres années il n’était pas beau. Trop sec, non trop humide rectifie t-il. Il doit avoir raison.
J’ai également repiqué les plants de courge issus des graines que j’ai plantées en godet à Paris. Elles ont poussé sur le balcon et sont plus belles que celles que j’ai mises directement en terre. J’ai fais trois godets, du Potimaron, de la courge Butternut et de la courge Muscade. Nous avons récupéré les graines sur des courges. Le problème est que je n’ai pas identifié les pots et que je ne sais pas ce qui vient d’être repiqué ! On verra quand les fruits arriveront. Sur les trois, deux seulement sont sortis. En terre, c’est pareil. Il y a tout un rang en retard.
La semaine dernière, j’ai semé des radis Patricia qui commencent à sortir. Ils occuperont l’espace en attendant que les courges prennent de l’ampleur et éviteront aux mauvaises herbes de s’installer.
Les plants de pomme de terre sont superbes et les doryphores ne les ont pas encore trouvés. Ils doivent attendre qu’elles soient en fleur.
Il y a quinze jours, j’ai semé de la moutarde le long du mur. Elle disparaitra cet hiver après avoir enrichi et ameubli la terre. Elle empêchera également les mauvaises herbes de pousser. Près des fraises et des glaïeuls, j’ai semé du trèfle blanc pour contenir les mauvaises herbes et faire de l’engrais vert.
Ce dimanche 24 mai, j’ai également fini de réparer la tondeuse auto tractée. Hier, les lames ont touché quelque chose et se sont mises parallèles alors qu’elles doivent être perpendiculaires. C’est dans ces moments qu’on se rend compte que la mécanique jardinière est proche de la géométrie. Elle reste quand même de la mécanique. Il faut enlever les ressorts de rappel, les poulies, puis le carter pour enfin accéder à la courroie crantée qui actionne les lames. Là, démonter le tendeur de courroie, bien mettre les lames à la perpendiculaire l’une de l’autre et refaire toutes les opérations à l’envers. Quand j’embraye les lames, un grand bruit et rien. Un ressort, mal enclenché, a sauté. Facile à réparer. L’essai est concluant mais j’ai passé une bonne heure et demie ! En revanche, il y a beaucoup moins de vibrations. La courroie est mieux tendue.
Le câble de l’embrayage du tractage de la petite tondeuse a également cassé. Il sera changé un autre jour !
Avec les tontes de pelouse, j’ai fini de pailler les pommes de terre et les plants de céleri rave et de tomates que j’ai achetés hier au marché. Cette année, je vais essayer d’empêcher les mauvaises herbes de pousser et de contenir l’humidité du sol par ce type de paillage. J’ai lu dans « le poireau préfère les fraises » que ça devrait marcher.
Les Saints de glaces sont maintenant passés et hier, samedi 23 mai, j’ai pris les plants de tomate au stand de la jardinerie de Vézézoux. La jardinerie vient de Haute Loire, et s’installe près de la gendarmerie comme me l’a indiqué Paul. C’est vrai que ces plants sont très beaux. Les tomates ont l’air en pleine forme. J’ai pris deux Cœur de Bœuf, cette belle tomate charnue, dans un godet d’un beau mauve, la couleur préférée de Chantal, deux Steak en godet vert foncé, je crois que c’est une tomate également pleine de chair, deux grappes en godet gris qui sont toujours agréables à manger à pleine dent, une St Pierre en godet bleu charrette et une Marmande en godet orange.
J’ai d’abord installé des tuteurs en plastique vert. J’ai appris dans les livres que le mildiou s’installait sur les tuteurs en bois et qu’il est impossible de les désinfecter. L’an dernier, les tomates ont toutes été touchées par le mildiou et les tuteurs ne peuvent donc pas être réutilisés.
J’ai planté de gauche à droite un premier rang avec une Cœur de Bœuf, deux Grappes, et la Marmande et le second rang composé d’une Steak, la St Pierre, la seconde Steak et la seconde Cœur de Bœuf. Il faudra planter des œillets d’inde pour éloigner les ravageurs des tomates.
Le céleri rave vient de Gamme Vert. Le râper est difficile. Nous en avons préparé nous- mêmes pour la première fois cette année. La première fois avec une sauce à la moutarde que Chantal a peu appréciée, même pas du tout. C’était pourtant de la moutarde à l’ancienne avec de vrais grains dedans. La seconde fois, j’ai fait une sauce au fromage blanc et au poivre qui l’a régalée.
Une douzaine de plants. J’ai lu que c’était difficile à réussir, c’est pourquoi j’ai acheté des plants. Paul me dit qu’il en plante souvent et que l’année dernière contrairement aux autres années il n’était pas beau. Trop sec, non trop humide rectifie t-il. Il doit avoir raison.
J’ai également repiqué les plants de courge issus des graines que j’ai plantées en godet à Paris. Elles ont poussé sur le balcon et sont plus belles que celles que j’ai mises directement en terre. J’ai fais trois godets, du Potimaron, de la courge Butternut et de la courge Muscade. Nous avons récupéré les graines sur des courges. Le problème est que je n’ai pas identifié les pots et que je ne sais pas ce qui vient d’être repiqué ! On verra quand les fruits arriveront. Sur les trois, deux seulement sont sortis. En terre, c’est pareil. Il y a tout un rang en retard.
La semaine dernière, j’ai semé des radis Patricia qui commencent à sortir. Ils occuperont l’espace en attendant que les courges prennent de l’ampleur et éviteront aux mauvaises herbes de s’installer.
Les plants de pomme de terre sont superbes et les doryphores ne les ont pas encore trouvés. Ils doivent attendre qu’elles soient en fleur.
Il y a quinze jours, j’ai semé de la moutarde le long du mur. Elle disparaitra cet hiver après avoir enrichi et ameubli la terre. Elle empêchera également les mauvaises herbes de pousser. Près des fraises et des glaïeuls, j’ai semé du trèfle blanc pour contenir les mauvaises herbes et faire de l’engrais vert.
Ce dimanche 24 mai, j’ai également fini de réparer la tondeuse auto tractée. Hier, les lames ont touché quelque chose et se sont mises parallèles alors qu’elles doivent être perpendiculaires. C’est dans ces moments qu’on se rend compte que la mécanique jardinière est proche de la géométrie. Elle reste quand même de la mécanique. Il faut enlever les ressorts de rappel, les poulies, puis le carter pour enfin accéder à la courroie crantée qui actionne les lames. Là, démonter le tendeur de courroie, bien mettre les lames à la perpendiculaire l’une de l’autre et refaire toutes les opérations à l’envers. Quand j’embraye les lames, un grand bruit et rien. Un ressort, mal enclenché, a sauté. Facile à réparer. L’essai est concluant mais j’ai passé une bonne heure et demie ! En revanche, il y a beaucoup moins de vibrations. La courroie est mieux tendue.
Le câble de l’embrayage du tractage de la petite tondeuse a également cassé. Il sera changé un autre jour !