Bigarreaux : 500g
Sucre : 20 cl (un verre)
Alcool de fruit : 25cl (couvrir les cerises d’alcool)
Choisir de beaux bigarreaux, pas abimés par les oiseaux et retirer les queues.
Les mettre dans un bocal de 75 cl (3/4).
Ajouter le sucre.
Bien recouvrir d’alcool.
Fermer et laisser au soleil deux mois.
Les deux cerisiers, celui du potager et celui du fond du jardin, croulent déjà sous les beaux bigarreaux hâtifs. Cette année, les chenilles n’ont pas dévoré les fleurs et les oiseaux semblent moins affamés.
Les cerises sont belles, bien formées, mûres et sucrées. C’est un délice de les manger sur l’arbre, mais (ou heureusement), il y en a beaucoup trop.
Nous en ramassons 15 kg. Il y en aura pour Jenny et aussi pour Fong, mais nous devons conserver le reste.
Une partie sera congelée, soit sur la plaque spéciale où Chantal les étale soigneusement, soit en vrac dans une bouteille d’eau coupée et refermée avec du plastique alimentaire. Cet hiver, ce sera plaisir que de faire un millard, un clafoutis comme on dit ailleurs. Pour la recette du millard, il faudra donc attendre…
L’autre partie sera conservée dans l’alcool de fruit. J’ai fait trois préparations différentes : la première avec seulement 10 cl de sucre non raffiné qui a si bon goût. Le bocal est trouble mais j’ai hâte de goûter. La seconde avec seulement de l’alcool, tout simplement parce que nous n’avions plus de sucre, la dernière en suivant la recette.
Tous les bocaux mûrissent doucement au soleil de juin. Il faut bien leur laisser deux mois.
Nous mangerons les bigarreaux un à un, durant les soirées d’hiver. Ils rappelleront les beaux jours de juin.
Sucre : 20 cl (un verre)
Alcool de fruit : 25cl (couvrir les cerises d’alcool)
Choisir de beaux bigarreaux, pas abimés par les oiseaux et retirer les queues.
Les mettre dans un bocal de 75 cl (3/4).
Ajouter le sucre.
Bien recouvrir d’alcool.
Fermer et laisser au soleil deux mois.
Les deux cerisiers, celui du potager et celui du fond du jardin, croulent déjà sous les beaux bigarreaux hâtifs. Cette année, les chenilles n’ont pas dévoré les fleurs et les oiseaux semblent moins affamés.
Les cerises sont belles, bien formées, mûres et sucrées. C’est un délice de les manger sur l’arbre, mais (ou heureusement), il y en a beaucoup trop.
Nous en ramassons 15 kg. Il y en aura pour Jenny et aussi pour Fong, mais nous devons conserver le reste.
Une partie sera congelée, soit sur la plaque spéciale où Chantal les étale soigneusement, soit en vrac dans une bouteille d’eau coupée et refermée avec du plastique alimentaire. Cet hiver, ce sera plaisir que de faire un millard, un clafoutis comme on dit ailleurs. Pour la recette du millard, il faudra donc attendre…
L’autre partie sera conservée dans l’alcool de fruit. J’ai fait trois préparations différentes : la première avec seulement 10 cl de sucre non raffiné qui a si bon goût. Le bocal est trouble mais j’ai hâte de goûter. La seconde avec seulement de l’alcool, tout simplement parce que nous n’avions plus de sucre, la dernière en suivant la recette.
Tous les bocaux mûrissent doucement au soleil de juin. Il faut bien leur laisser deux mois.
Nous mangerons les bigarreaux un à un, durant les soirées d’hiver. Ils rappelleront les beaux jours de juin.
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