Cassis : 1,5Kg
Sucre : 1 Kg
Alcool de fruit : 1l
Cannelle en poudre : 1 cuillère à soupe
Quelques belles feuilles de cassis
Egrener les cassis. Peser 1,5Kg. Ajouter 1 kg de sucre en poudre et 1 litre d’alcool de fruit à 40°.
Il faut mettre le tout dans un grand saladier car l’ensemble occupe un grand volume. Il faut travailler en deux fois à cause du volume. Mettre la moitié du mélange dans le mixeur, verser le mixage dans un autre grand saladier et mixer l’autre moitié.
Mélanger les deux mixtures. Puis verser à l’aide de l’entonnoir à confiture et d’une louche dans un grand bocal de 1 litre auparavant ébouillanté.
Fermer et laisser au soleil deux mois.
Au bout d’au moins deux mois (on peut laisser le tout plus longtemps), le contenu ressemble à une sorte de confiture épaisse.
Prendre un bas, remplir de quelques cuillérées et presser le jus à la main. La liqueur est prête.
Nous l’avions remarqué le week end dernier : les cassis sont mûrs avec deux semaines d’avance par rapport à l’an dernier. Chantal Fontbonne avec qui nous avons discuté hier devant son restaurant a constaté la même chose dans son jardin de St Rémy de Chargnat.
Il fallait absolument les cueillir aujourd’hui. Dans l’emploi du temps chargé de ce dimanche, ça n’a pas été facile. Ce matin, nous sommes allés au lac du Vernet la Varenne où Chantal a fait ses quarante longueurs pendant que je saisissais les derniers actes généalogiques trouvés à Malmedy. Je suis maintenant en 1796 avec la naissance de Caspar-Joseph COLETTE.
En début d’après midi, nous sommes allés au marché de pays de St Jean des Ollières. J’y ai trouvé des vieilles cartes postales sur Condat lès Montboissier et le camp de Sathonay où a stationné mon grand père maternel.
Nous avons également acheté la suite du livre du troubadour que nous a dédicacé son auteur.
Chantal n’a pas résisté au petit gâteau du stand de la pâtisserie bio de St Jean. C’est un cake indien à la carotte.
Il y a aussi les dernières cerises qui viennent juste de mûrir sur un des deux cerisiers du jardin. Chantal, qui est restée sur le fabuleux goût des guignes, les trouve moins bonnes. Elle exagère un peu. Elles sont très bonnes bien que moins sucrées.
Nous nous partageons les tâches. Chantal cueille les cerises et moi les cassis.
Les grains de cassis sont superbes, gros comme des petits raisins, gorgé de jus, chauds sous le soleil de l’après midi. Les cassissiers n’ont jamais autant donné. Le mur construit cet automne le protège et lui restitue la chaleur de la journée. J’en ramasse rapidement plus de 3 kg.
Chantal a terminé la cueillette des cerises accessibles. Elle commence à égrener les grappes de cassis pendant que je retourne continuer le ramassage. Encore 3 kg.
C’est parti ! Peser 1,5kg, ajouter le kg de sucre et le litre d’alcool de fruit, la cuillère de cannelle et quelques feuilles de cassis. Bien mélanger le tout dans un grand faitout car le volume est important. Il faut procéder en deux fois pour le mixage. La louche sera utile pour remplir le bol à mixer. L’homogénéité du mélange nécessite l’utilisation d’un autre faitout. Second mixage, mélange.
Les bocaux ont déjà été ébouillantés et séchés. L’entonnoir à confiture va aider au remplissage.
Il ne suffit plus que de mettre au soleil les deux bocaux de 1 litre et de recommencer l’opération pour le cassis restant.
Il manque de l’alcool. Nous emmenons les 2 kg qui restent à Paris. A minuit à Paris, nous laissons les grains dans le faitout, mais nous rajoutons l’alcool et le sucre pour éviter que le cassis ne s’abime. Il sera mixé et mis en bocal demain à une heure plus chrétienne. Ils muriront sous le soleil de plomb du balcon.
A côté des deux cassissiers les groseilles doivent encore un peu mûrir. Nous revenons dans deux semaines.
Sucre : 1 Kg
Alcool de fruit : 1l
Cannelle en poudre : 1 cuillère à soupe
Quelques belles feuilles de cassis
Egrener les cassis. Peser 1,5Kg. Ajouter 1 kg de sucre en poudre et 1 litre d’alcool de fruit à 40°.
Il faut mettre le tout dans un grand saladier car l’ensemble occupe un grand volume. Il faut travailler en deux fois à cause du volume. Mettre la moitié du mélange dans le mixeur, verser le mixage dans un autre grand saladier et mixer l’autre moitié.
Mélanger les deux mixtures. Puis verser à l’aide de l’entonnoir à confiture et d’une louche dans un grand bocal de 1 litre auparavant ébouillanté.
Fermer et laisser au soleil deux mois.
Au bout d’au moins deux mois (on peut laisser le tout plus longtemps), le contenu ressemble à une sorte de confiture épaisse.
Prendre un bas, remplir de quelques cuillérées et presser le jus à la main. La liqueur est prête.
Nous l’avions remarqué le week end dernier : les cassis sont mûrs avec deux semaines d’avance par rapport à l’an dernier. Chantal Fontbonne avec qui nous avons discuté hier devant son restaurant a constaté la même chose dans son jardin de St Rémy de Chargnat.
Il fallait absolument les cueillir aujourd’hui. Dans l’emploi du temps chargé de ce dimanche, ça n’a pas été facile. Ce matin, nous sommes allés au lac du Vernet la Varenne où Chantal a fait ses quarante longueurs pendant que je saisissais les derniers actes généalogiques trouvés à Malmedy. Je suis maintenant en 1796 avec la naissance de Caspar-Joseph COLETTE.
En début d’après midi, nous sommes allés au marché de pays de St Jean des Ollières. J’y ai trouvé des vieilles cartes postales sur Condat lès Montboissier et le camp de Sathonay où a stationné mon grand père maternel.
Nous avons également acheté la suite du livre du troubadour que nous a dédicacé son auteur.
Chantal n’a pas résisté au petit gâteau du stand de la pâtisserie bio de St Jean. C’est un cake indien à la carotte.
Il y a aussi les dernières cerises qui viennent juste de mûrir sur un des deux cerisiers du jardin. Chantal, qui est restée sur le fabuleux goût des guignes, les trouve moins bonnes. Elle exagère un peu. Elles sont très bonnes bien que moins sucrées.
Nous nous partageons les tâches. Chantal cueille les cerises et moi les cassis.
Les grains de cassis sont superbes, gros comme des petits raisins, gorgé de jus, chauds sous le soleil de l’après midi. Les cassissiers n’ont jamais autant donné. Le mur construit cet automne le protège et lui restitue la chaleur de la journée. J’en ramasse rapidement plus de 3 kg.
Chantal a terminé la cueillette des cerises accessibles. Elle commence à égrener les grappes de cassis pendant que je retourne continuer le ramassage. Encore 3 kg.
C’est parti ! Peser 1,5kg, ajouter le kg de sucre et le litre d’alcool de fruit, la cuillère de cannelle et quelques feuilles de cassis. Bien mélanger le tout dans un grand faitout car le volume est important. Il faut procéder en deux fois pour le mixage. La louche sera utile pour remplir le bol à mixer. L’homogénéité du mélange nécessite l’utilisation d’un autre faitout. Second mixage, mélange.
Les bocaux ont déjà été ébouillantés et séchés. L’entonnoir à confiture va aider au remplissage.
Il ne suffit plus que de mettre au soleil les deux bocaux de 1 litre et de recommencer l’opération pour le cassis restant.
Il manque de l’alcool. Nous emmenons les 2 kg qui restent à Paris. A minuit à Paris, nous laissons les grains dans le faitout, mais nous rajoutons l’alcool et le sucre pour éviter que le cassis ne s’abime. Il sera mixé et mis en bocal demain à une heure plus chrétienne. Ils muriront sous le soleil de plomb du balcon.
A côté des deux cassissiers les groseilles doivent encore un peu mûrir. Nous revenons dans deux semaines.
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